Limitation des salaires, augmentation du nombre d’heures de travail annuelles et de la flexibilité, baisse des primes pour le travail de nuit, le samedi ou les jours fériés : c’est le marché de dupes que propose Renault aux syndicats espagnols en échange de l’augmentation de la production à Palencia (qui doublerait), Valladolid et Séville, et la promesse de créer des emplois… pour des jeunes en alternance.
Palencia était pourtant montré comme un exemple de productivité dans le groupe. Mais ça ne suffit pas. Il faudra donc produire plus, mais pas avec des embauches en proportion. No pasaran !