L’accord compétitivité a été pompeusement baptisé « Contrat pour une nouvelle dynamique de croissance et de développement social de Renault en France ». Un titre censé faire oublier son contenu : suppressions d’emplois, augmentation du temps de travail, gel des salaires, dégradation des conditions de travail, externalisations, délocalisations…
« Contrat pour une nouvelle dynamique de croissance des profits et de régression sociale de Renault en France », ça sonnerait plus juste.