Cette année, les actionnaires devront également voter pour le 4ème (et peut-être dernier) mandat de Carlos Ghosn à la tête de Renault. Ce qui inquiète un certain nombre d’actionnaires qui doutent de la pérennité de l’Alliance après son départ, et réclament la fusion de Renault et de Nissan. Ghosn, qui n’est pas pressé d’être remplacé, leur a répondu que « tout est fait pour tranquilliser l’actionnaire ». En revanche, il n’est pas pressé de tranquilliser les salariés de Renault et de Nissan.