Renault a posé ses conditions aux quatre faux espions : pour garder leurs indemnités de réparation, ils ne doivent pas en dévoiler le montant. Même Balthazard a dû renoncer à écrire ses mésaventures et rompre son contrat d’édition. Pourquoi : la réalité est encore pire que ce qu’on sait déjà ?