Cobalt : audit soit qui mal y pense

Epinglé par Amnesty international pour les pratiques douteuses de ses fournisseurs de cobalt au Congo (exploitation d’enfants, pollution, expulsions forcées…), Renault s’est d’abord défendu en affirmant que le groupe « n’achetait pas de cobalt », renvoyant la balle à ses fournisseurs de batteries électriques. La direction a finalement annoncé qu’elle ferait réaliser des audits auprès de son principal fournisseur chinois, Huayou Cobalt. Sans pour autant s’engager à rendre public ceux-ci.

 

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